mercredi 9 avril 2008

L'avenement - Chapitre 11

Chapitre 11 :

La chasse prend fin


Max fixa de longue minute l’inconnu qui se trouvait en face de lui. Une barbe noire et drue lui mangeait la moitié du visage, de grosses cernes noires et des yeux rougies par la fatigue lui donnaient un regard d’aliéné, des chevex sales et gras lui encadraient un visage décharné, on aurait dit un pauvre hère sans le sous. Et pourtant cet inconnu en face de lui n’était rien d’autre que le reflet de Max dans la surface de l’eau du pot qu’il avait sous les yeux. Depuis des semaines, il ne dormait plus, ne se reposait plus, ne mangeait que rapidement et pour un minmum de frais, la seule chose qu’il faisait c’était fuir et prier. Prier était la seule chose qui les faisait un petit peu taire et fuir était la seule chose qui lui permettait de rester en vie. Il sentait en permanence cette sensation d’être poursuivit, cette sensation de danger qui le menaçait à chaque instant. Max voyageait vite, volant ce dont il avait besoin et envitant au maximum toute rencontre avec des créatures intéligentes. Mais voilà quelques heures il avait craqué, il avait besoin de sommeil, de soin et de repos. Il avait donc marqué une pause dans la ville la plus proche et il avait pris une chambre miteuse dans une auberge de dernière classe avec l’espoir de pouvoir ce reposer quelques heures.

Max plongea les mains dans l’eau et se frotta énergiquement le visage. Le soleil était en train de se coucher, les ombres grandissaient dans les rues alors que celles-ci se vidaient. Max regarda un moment le soleil en train de baisser et se remémora les cauchemards récurrents qu’il faisait depuis qu’il avait la main sur cette objet de malheur. Instinctivement son regard se dirigea lentement vers l’objet de sa haine et de sa culpabilité. Il était toujours là, fier et arrogant, posé contre le mur, enroulé dans quantité de tissu avec des breloques religieuses accrochées dessus. Une bouffé de haine et de colère envahit le cœur de Max et il faillit dans un moment de folie jeter le trident par la fenêtre en direction du soleil rougeoyant. Max avait envie de dire au soleil de reprendre ce trident qu’il lui réclamait chaque nuit dans ses rêves. Pendant un instant Max faillit tout abandonner mais comme à chaque fois, le visage des ses compagnons disparus lui rappelèrent sa culpabilité et sa responsabilité dans l’affaire. Il ne pouvait pas laisser ce trident sans surveillance et il ne faisait confiance à personne d’autre que lui-même. Il continuerait même si ça voulait dire se priver de sommeil et de repos pour le reste de sa vie, même si ça voulait dire supporter les babillages vulgaires et agressifs du trident. Max soupira et continua sa toilette.

Ces dernières semaines avaient peut être affaiblit certain de ses muscles mais ses sens n’avaient jamais été aussi en alerte, c’est grâce à cela qu’il les entendit avant qu’ils ne défoncent la porte et rentrent dans la chambre miteuse. Mais à ce moment la Max avait déjà eut le temps de se saisir du trident et de grimper sur le toit de l’auberge par la fenêtre de sa chambre. Max marchait discrètement sur le toit de brique, le regard vif, attentif à tout mouvement. Soudainement une silhouette sombre jaillit par la fenêtre et atterrît sur le toit à une dizaine de mêtre de Max. Celui-ci détalla comme un lapin et sauta sur le toit du batiment le plus proche. Il jetta un regard par-dessus son épaule et vit la silhouette de son poursuivant se découper dans le soleil couchant. Max se demanda s’il était en train de rêver ou si c’était vrai cette fois-ci. Max courait de toit en toit, le lourd trident sur le dos. La silhouette sombre le talonnait et ne semblait pas vouloir abandonner. Alors que Max s’apprétait à sauter sur le toit de la maison suivante il vit une autre silhouette lui faire face et l’attendre sur l’autre batiment.

Ni une ni deux, Max se laissa tomber entre les deux bâtiments et se réceptionna en faisant une roulade avant de repartir en courant. Max essaya de se rappeler la configuration de la ville, il lui fallait à tout pris éviter les grandes zones découvertes où il pourrait se faire encercler et où il serait à la merci des archers. Le sang lui cognait les tempes, il commençait à être à bout de souffle. Il traversa la rue principale à toute vitesse et s’engouffra dans une ruelle pour essayer de semer ses poursuivants. Arrivé à une intersection, il prit à droite sans ralentir et se retrouva nez à nez avec deux de ses poursuivants. Il n’avait pas le temps ni de s’arrêter ni de changer de direction. Max dévia légèrement sa course et après avoir pris appui sur des caisses qui se trouvaient dans la ruelle, il sauta par-dessus les deux hommes vêtu de grandes capes noires. Il sentit une douleur à la cuisse gauche mais continua sur sa lancé et ne jeta même pas un œil en arrière. A l’intersection suivante il voulut prendre à gauche mais cette fois ci il eut le temps de voir qu’il était attendu, il prit alors à droite et se dirigeait à nouveaux vers la rue principale. Ils cherchaient à lui tendre un piège, il pouvait sentir les mailles du filet se resserrer.

Il déboucha à nouveau sur la grande rue et vit qu’il était encerclé. Max accéléra et se jeta sur un des hommes en noir, il le percuta de toutes ses forces et ils traversèrent ensemble la vitrine qui se trouvait derrière l’homme en noir. Max se dégagea de l’étreinte de son adversaire comme une anguille et grimpa quatre à quatre l’escalier de l’arrière boutique pour atteindre à nouveau les toits. Alors qu’il se dégageait, il avait eut l’occasion de découvrir la véritable nature de ses adversaires, sous les capes et les vêtements noirs se cachaient uniquement des squelettes. Sachant cela Max avait décidé de se rendre vers le temple le plus proche dont l’influence devrait empêcher ses poursuivants de le suivre.

De toit en toit, Max se rapprochait d’un temple d’Othon, sa jambe gauche commençait à le faire souffrir et Max découvrit une profonde lacération que lui avait faite un des morts vivants dans la ruelle. Max arriva en vu du temple, il n’avait pas le temps de descendre, il allait devoir sauter à travers du vitrail. Il prit son élan et sauta à travers l’abime qui le séparer de son salut. Un des morts vivant qui le suivait de près essaya de l’attraper mais réussit seulement à retenir légèrement Max. Max vit le mur du temple se rapprocher de lui, il espéra une seconde que la modification impromptue de sa trajectoire n’aurait pas d’impact, puis il percuta violement le mur à quelques centimètres vitrail.

Le choc vida les poumons de Max et il sentit à peine sa chute sur le sol au pied du temple. Le trident gisait à quelques mètres de lui. Max sentait le gout du sang dans sa bouche et cracha quelques dents sur le sol poussiéreux. Il essaya de se relever sans succès pendant qu’une petite dizaine de mort vivants commençait à l’encercler. Max rampa vers le trident, il pouvait voir le manche à travers le tissu déchiré par la chute. Max tendit le bras vers le trident mais fut arrêter dans son mouvement quand l’un des morts vivants lui planta sa main griffue dans la cuisse et le cloua au sol. Le sang de Max imbiba la poussière de la rue. Du bout des doigts il arrivait à effleurer le tissu qui entourait le trident. Alors qu’il pensait tout perdu et qu’il attendait le coup de grâce, il entendit une voix dans sa tête. En temps normal entendre cette voix l’aurait remplie de haine et d’horreur mais à quelques secondes de sa mort, c’était presque un réconfort.

- Max ! Moi et l’autre tanche de Tanar’ri, on a un deal à te proposer. Tu as risqué ta vie pour qu’on ne tombe pas entre les mains de ces pourritures de cadavres ambulants. Pour un tas de chair bientôt en décomposition tu as un bon fond. Attrape le trident et défend toi ! On ne te fera pas de mal.

- Pour l’instant, susurra l’autre voix narquoise.

- Ta gueule ! imposa la première voix, Max, tu as le choix entre ça et mourir ! Fais vite !

Un mort vivant perfora la poitrine de Max, brisant ces côtes et lui déchirant le cœur. Dans un dernier souffle, Max posa la main sur le manche ouvragé du trident. Des éclairs rouges coururent le long de son bras et parcoururent tout son corps. Quand ils atteignirent les morts vivants qui retenaient Max, ceux-ci se désintégrèrent sur place ne laissant qu’un petit tas de poussière. Max raffermit sa prise autour du trident alors que la magie de celui-ci réparait ses organes et fermait ses blessures.

Max se releva et fit face aux morts vivant qui l’encerclait. Il n’avait jamais manié de trident de sa vie et celui qu’il avait entre les mains était en plus particulièrement gros et inadapté à la taille ses mains. Pourtant l’arme lui semblait légère et facile d’utilisation. Pour se rassurer et pour essayer d’intimider ses adversaires, Max effectua un rapide moulinet avec l’arme gigantesque. Celle-ci fendit l’air dans un hurlement démoniaque visiblement satisfaite de reprendre du service.

Les morts vivants, insensible à la peur et à l’intimidation se jetèrent sur Max d’un seul mouvement. Alors que le cercle se refermait Max se servit rapidement du trident comme d’une perche et sauta par-dessus les morts vivants, à peine avait il poser le pied au sol qu’il se retourna et lança un enchaînement vers les créatures nécromantiques. Ce qu’il croyait être son instinct lui dictait les gestes à faire. Il perfora le mort vivant le plus proche, retira l’arme du corps, repoussa un autre mort vivant avec l’autre extrémité de l’arme, para les attaques du suivant avant de lui trancher les bras. Il perfora ensuite le mort vivant le plus proche et dans un grand mouvement il l’envoya percuter le mur du temple, dans le même mouvement il embrocha une autre créature avec l’autre extrémité du trident. Max paraît, frappait et tuait, c’était facile et amusant, il pouvait sentir au fond de lui la jouissance des âmes démoniaques enfermées dans le trident.

Rapidement, Max se débarrassa de tous ses opposants, il examina les alentours pour être bien sur de les avoir tous éliminer. C’est alors qu’il vit l’imposante personne qui l’observait, il crut pendant un instant que c’était un autre de ses morts vivants mais il se rendit rapidement compte à sa robe ouvragée et à son port noble que la créature morte vivante qui se trouvait devant lui n’était pas un simple assassin comme les précédents. Les voix crièrent simultanément un avertissement à Max mais celui-ci n’eut le temps de rien faire. Le trident pouvait protéger de beaucoup de chose et accordait beaucoup de pouvoir mais il ne pouvait rien faire contre quelqu’un qui avait participé à sa création et qui connaissait tous ses secrets. Il suffit d’une phrase à la liche pour bloquer les pouvoirs du trident et d’un geste pour le faire venir jusque dans ces mains. Max. Max courut vers la liche pour essayer de le récupérer mais celle-ci sans même accorder un regard à Max projeta un rayon d’énergie négative vers lui. Max fut frappé en pleine poitrine et son corps sans âme s’effondra dans le sable au pied de la liche. Sans un bruit et sans un geste, le Maître disparut laissant juste le cadavre en face du temple d’Othon.

Quelques instants plus tard, Thsczyikhaar apparut avec Sarah dans les bras. Instinctivement, il posa sa main sur les yeux de la petite fille pour qu’elle ne puisse pas voir le cadavre. Il fixa longuement le cadavre du jeune homme avant de s’en éloigner, pensif et préoccupé.

Simon, le petit gens roublard et assistant de feu Kaliva, observa encore la scène pendant quelques instants avant de s’éloigner et de retourner à son camp de base. Là bas, il retrouva Cyanure, Iwy et le Chasseur assis autour d’un feu de camp. Il n’y avait aucune trace de Knives. Simon s’installa silencieusement autour du feu de camp et laissa les discussions se terminer avant d’essayer de prendre la parole. Il avait bien compris que pour survivre il devait faire profil bas face à tous ces tueurs psychopathes. Il avait l’impression d’être une souris entourée de rapaces.

Le Chasseur retira du feu un lapin qu’il avait attrapé et commença à croquer dedans à belle dent. Depuis qu’il avait rejoint le groupe, il n’avait quasiment rien dit de plus sur ses origines. Il se faisait appeler le Chasseur depuis longtemps et était un spécialiste de la traque et de l’élimination de gros gibier. Une sorte de rivalité passive s’était installé entre lui et Iwy. Le guerrier barbare essayait à chaque instant de prouver qu’il était plus fort et plus coriace que le Chasseur. Celui-ci répondait rarement aux provocations de l’autre et lui laissait souvent croire qu’il avait le dessus. Mais Simon n’était pas dupe, le Chasseur était bien meilleur que Iwy. Cyanure ne montrait que dédain pour ces joutes masculines et elle passait beaucoup de temps silencieuse à préparer ses poisons. Iwy avait bien essayait une fois ou deux de se battre avec le Chasseur mais Knives avait toujours stoppé les velléités du barbare dans ce genre de domaine.

Quand il ne cherchait pas des noises au Chasseur, Iwi passait son temps à s’entrainer et à raconter des histoires sur sa tribu natale. Simon commençait à être particulièrement dégouté de ces histoires de pillages, de morts et de viols. Il venait visiblement d’une société particulièrement violente et inhumaine qui ne semblait pouvoir survivre que par la destruction de son prochain. Le plus effrayant avec Iwy était qu’en dépit de toutes les apparences, il était particulièrement intelligent et rusé, surtout quand il faut faire souffrir et qu’il faut tuer.

Simon sortit discrètement un peu de nourriture des ses affaires et grignota en attendant le retour de Knives. Il était très certainement en entretien avec leur employeur et il avait donné l’ordre de ne jamais être dérangé dans ce genre de cas. Simon tenant à la vie, obéissait scrupuleusement à cet ordre.

Pendant ce temps là, Iwy et Cyanure s’était lancé dans une discussion sur un de leur dernier coup sous le regard inquisiteur du Chasseur. Simon mourrait d’en savoir plus sur cet homme mystérieux. Il semblait avoir dans la quarantaine, des cheveux châtain coupé court, une barbe fournie et bien taillée, un regard vert perçant et mystérieux. Il lui manquait le haut de l’oreille droite et Simon l’ayant une fois entr’aperçu torse nu, savait que son torse était couvert de cicatrice plus ou moins profonde. Mais ce qui inquiétait le plus Simon était son calme absolu face à la tache qui les attendait, Iwy était comme un gosse, Cyanure semblait nerveuse et mal à l’aise et Knives portait toute la responsabilité de la tache sur les épaules. Alors que le Chasseur se comportait comme si il allait chasser un paisible mammifère, comme si il l’avait déjà fait de nombreuses fois.

Alors que Simon se posait beaucoup de question sur ces compagnons, Knives revint avec le reste du groupe toujours en compagnie de ses mystérieux gardes du corps. Il s’installa sur une buche et commença à jouer avec les braises du feu avec le bout d’un bâton. Les autres restaient silencieux à l’observer quand il prit la parole de sa voix encore jeune et calme :

- Messieurs, je viens juste d’avoir un entretien avec mon maître. J’ai une bonne nouvelle pour vous, le trident est en sa possession. Il nous autorise maintenant à passer à la seconde phase du plan.

- Qui l’affronte en premier ? demanda Iwy très directement comme à son habitude.

- Ce n’est pas un concours Iwy, rétorqua Knives, il n’y a ni premier ni dernier, il n’y a que sa mort qui compte. Nous devons mettre tous les atouts de notre côté. Avant tout voici ce que je sais de ses capacités à l’heure actuelle. C’est un puissant guerrier mais il n’est pas armé, c’est un puisant mage et il a son grimoire au grand complet, je connais son grimoire par cœur donc je peux anticiper sa magie. Il n’a pas le trident donc pas de bénéfice des âmes qu’il a put voler. Il est donc vulnérable aux armes magiques et à la magie. Mais surtout, sans ces âmes, pas de psionismes ni de magie de guérison et ça c’est un point important. Maintenant, je vous écoute quelles sont vos idées ?

- Du poison ? suggéra Cyanure.

- Non, je n’en connais aucun suffisamment puissant pour le tuer, il se téléporterait dès qu’il se sentirait en danger, répondit Knives.

- On fait diversion avec le Chasseur, on lui colle des gros pains dans la tronche et vous le frapper par derrière avec Cyanure.

- Je pense qu’il est trop malin pour se faire avoir comme ça.

- On le piège, dit le Chasseur.

- Je veux bien mais comment ?

- Laisse-moi y réfléchir…

- Bon en attendant quelqu’un a quelque chose d’intelligent à dire ?

- Il est accompagné d’une jeune elfe en ce moment, hasarda Simon.

- Certainement son casse croute lança Iwy moqueur.

- Non il avait l’air d’y tenir, enfin d’après ce que j’ai vu, il la protège et fait preuve d’attention, ce qui, vu le personnage, prouve qu’il y est attaché. Il a juste son sac à dos et pas d’autre équipement visible.

- C’est intéressant ça, commenta Knives, on pourrait essayer de jouer dessus. Pour ce qui est de l’équipement, il ne faut pas oublier que c’est un sac sans fond, qui sait ce qu’il peut se trouver dedans.

- Il faut faire attention, commença le Chasseur, si on la menace physiquement il va s’énerver et une bête en colère ce n’est pas bon, si on l’enlève il nous traitera comme des voleurs. Thsczyikhaar est fort, rapide, très intelligent et avec de puissant pouvoir magique. Par contre niveau sentimental, il n’est pas très doué. Il faut jouer là dessus, sur ses sentiments. Il a déjà perdu une fille, il sait ce que ça fait.

- Merci Chasseur, mais comment mettre ses sentiments en jeu sans entrainer une réaction de violence.

- Ca je ne sais pas, concéda le Chasseur.

- Le poison ?, dit Cyanure, très calme.

- J’ai déjà dit non, répondit Knives.

- Pas pour lui, pour elle… Il est peut être insensible au poison mais pas elle et tu nous as dit que ces capacités de guérison était limité en ce moment. Si je l’empoisonne lentement, combien de temps supportera t il de la voir souffrir ? Sachant que s’il me tue, il n’aura jamais l’anti poison et que je ne lui révélerai que contre un sacrifice de sa part.

- Cette idée me plait, acquiesça Knives, on va commencer par là, on n’arrivera peut être pas à le tuer mais au moins à l’affaiblir…

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Ah enfin les choses serieuses commencent.
Pour Max honnetement, je m'en doutais, il ne pouvait pas conserver le trident.
Ensuite l'idée de Cyanure, je ne savais pas que ca allait etre comme ca mais je me doutais aussi que la presence de Sarah allait avoir une grosse importance. Maintenant il faut savoir si ca va causer sa perte ou pas.
Toujours est il que les prochains chapitre vont devenir tres tres intressant. je n'ai pas dit que les autres ne l'etais pas.
Déja que j'etais accroché a ton blog tout les mercredi, ca va devenir encore plus vrai.

Comme toujours dans mes commentaires sur l'avenement, vivement la semaine prochaine.