Vendredi des dés - Space Hulk : Deathwing - Jeu vidéo - Critique

La semaine dernière est sortie un nouveau jeu dans l'univers de Warhammer 40000. Space Hulk : Deathwing nous fait endosser le rôle d'un archiviste (psyker) Dark Angels qui va s'enfoncer dans les entrailles d'un Space Hulk.
Et comme de par hasard ce Space Hulk est infesté par des Genestealers ce qui rend l'exploration un peu plus ardu que faire ses courses un jour de noël !


Notre ami l'archiviste ne sera pas seul et sera en permanence (enfin tant qu'ils sont en vie) accompagné par deux membres de la Deathwing en armure terminator. A la base, l'un équipé avec un Canon d'Assault et l'autre équipé d'un Narthacium qui permet de prodiguer des soins.


Quand une mission débute, le choix de l'équipement est laissé au joueur et s'étoffe au fil des scénarios aussi bien pour lui ainsi que pour ses acolytes. Entre la grosse dizaine d'armes de tir, les armes de corps à corps et les pouvoirs psychique, il y a beaucoup de combinaison à faire et donc autant de façon d'aborder les missions.


Ensuite la mission se lance, on se retrouve face à la structure labyrinthique d'un Space Hulk et un objectif qui nous indique ou nous rendre. Il faut alors planifier avec soin ses déplacements, savoir prendre des risques et penser à bloquer les portes derrières soi pour éviter d'être pris en tenaille.


On en vient rapidement à se demander si il vaut mieux passer par la grande salle qui offre beaucoup d'angles d'attaque ou faire un détour par des corridors étroits mais limitant le nombre d'assaillant.


Et c'est ici que se trouve l'originalité et l'ambiance du titre. En effet un groupe de personnages devant aller d'un point A à B en tuant des ennemis en masse, c'est un concept efficace mais déjà connu avec entre autre Left 4 Dead et Vermintide par exemple. Ici il y a plus de tactique et d'anticipation à prévoir.


En cours de mission, il est possible de se téléporter dans la zone de briefing pour refaire le stock de consommables et pour changer d'équipement. Cependant s'en servir impact le "score" et le gain de points d'expériences.


Niveau sensation, je trouve que le ressent bien la puissance des armes ainsi que le poids de l'armure terminator. Chaque pas se fait ressentir et on se sent plus proche du tank bipède que du décathlonien.
Les genestealers arrivent par la moindre bouche d'aération et la moindre petite faille. Ils sont très nombreux, brutaux et ils éclatent très bien sous les tirs.
D'autres type de genestealers existent en plus des classiques mais je n'en dit pas plus pour garder la surprise.


D'un point de vue technique, a part des temps de chargements un peu long, le jeu est beau et tourne bien. L'interface est un peu sobre mais est lisible.


Il existe un mode multijoueur en ligne que je n'ai pas encore testé et je pense refaire un article quand j'aurais eut l'occasion de le faire.


Au final, sans avoir pu tester le multi, je conseille avant tout ce jeu aux amateurs de la licence et/ou de jeux ressemblant à Left 4 Dead et Vermintide. Je m'amuse beaucoup avec mais parce que j'aime vider 400 cartouches de canon d'Assaut et transformer des Stealers en pulpe sanguinolente.


Rendez vous lundi 19h pour Lundi c'est permis

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